Elles se déshabillent pour nous
Cette Sthénélaïs consume la cité
Et ne vend qu'à prix d'or sa chaude volupté.
Pourtant elle a couché nue et gratuitement.
Près de moi, cette nuit dans un rêve charmant.
Nul besoin d'implorer cette femme implacable,
Ni de me lamenter puisque dans mon sommeil,
Je me livre au plaisir d'un amour indomptable.
Anthologie Palatine
Méléagre (?), Le rêve suffit.
Ven 1 nov 2013
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